Le gouvernement est à l’aube d’annoncer de grandes réformes, mais au service de qui seront-elles ?
Au service des financiers qui pressurent le monde du travail en en demandant toujours plus aux salariés et en mettant à mal les systèmes solidaire ?
Ou au service des salariés qui sont la force de production et les seuls à permettre le retour aux équilibres des établissements et à la création de richesses ?
Les milliards d’euros débloqués pour la Grèce ne serviront pas aux salariés grecs, mais seront utilisés par les banques. L’Europe, avec la contrainte de faire respecter les critères d’équilibres de l’euro, va demander des efforts aux salariés européens. Les grecs inaugurent cette situation par la réduction de leur droits sociaux, des salaires, de leur retraite et par des suppressions d’emplois. Lire le tract