Cet après midi ils ont opéré un lâcher de ballons dans le nouvel Hôpital Psychiatrique, ballons sur lesquels étaient notées les revendications.
L’AG de cet après midi a décidé de lever le campement tout en poursuivant le mouvement sous d’autres formes, grève continue, procédure sur le terrain juridique, signalement et communication sur les incidents qu’il pourrait y avoir dans le nouveau bâtiment.
Une demande sera déposée auprès de la justice pour mettre en demeure la Direction de l’Hôpital d’appliquer les recommandations du CHSCT qui s’est déroulé hier. En effet, ce dernier a détecté des risques pour la santé des agents qui travailleront dans le nouvel Hôpital.
Le personnel s’est en outre engagé à communiquer sur tous les éléments susceptibles de perturber le bon fonctionnement de la nouvelle structure.
Sur une des revendication du mouvement l’engagement a été pris par la direction de remplacer un pour un toute absence du personnel durant les semaines de mise fonctionnement de l’hôpital, cette période peut durée plusieurs semaines.
Une rumeur d’agression physique de deux agents par les manifestants a circulé et a même été relayée par la presse. Il n’y a eu aucune agression physique par les manifestants. L’intersyndicale étudie les possibilités d’attaque en diffamation ou d’injonction au droit de réponse.
La commission de réforme du département a reconnu aujourd’hui un accident de travail d’une infirmière pour burn-out, imputable au service de psychiatrie, a son organisation en sous effectif.